EVENT I : L'Assemblée

Explication :

Ici se déroule le premier évent du forum. Les clans évoqueront pour la première fois les hurlements qui se déroule pendant la nuit. Les premiers à écrire ici se devront d'être les 4 chefs il n'y a pas d'ordres après les chefs n'importe qui peut continuer l'évent et on Vera où tout ça nous mène.

Contexte :

Chaque clans avançaient droit devant leurs yeux regardaient autour d'eux craintifs, des hurlements retentissaient dans la nuit noir, les chats sursautaient à chaque grincement ou bruits suspects. Ils avaient peur, peur de la nuit elle-même. Le chef était devant le torse gonflé mal gré la peur qui noué leur ventre. Ils arrivèrent presque tous en même temps, ils se saluèrent et les chefs prirent place sur le promontoire où ils voyaient tous les félins, c'était très inhabituel mais sa n'étonnait personne que les chefs n'est même pas attendu quelques minutes avant de monter sur le promontoire. Le public attendez une réponse sur la situations, une solution et de l'espoir, voilà ce qu'ils attendaient impatiemment. Sa faisait des lunes que les hurlements emportés quelqu'un presque touts les soirs et sa ne pouvais plus duré, alors aujourd'hui les clans allaient enfin parler entre et essayer de trouvera une solution si ils n'en trouve pas alors tout le monde sera perdu. La vie des clans pesaient sur les épaules plus tôt musclé de chaque chefs sur ce promontoire, Etoile du Temps, Étoiles des Esprits, Etoile d'Automne et Etoile delà Louve. Chaque chefs étaient vaillant et essayer de faire respecter la lois. L'assemblée rentra dans un silence pesant, les chats regardaient autour d'eux et surtout regardaient les chefs attendant que l'un d'eux s'exprime. C'est bien ce qui se passa l'un deux s'avança sur le promontoire et comme ça à s'exprimer.

Bon ben, j'ouvre le bal. :3

Etoile de la Louve

Feat. Everyone

Mes yeux étaient fixés sur l'horizon, embrassant langoureusement la lune, pleine et argentée, qui trônait dans le ciel et jouait de ses rayons blafards entre les étoiles qui peinaient à se faire remarquer sous les lueurs aveuglantes de leur mère. Une fine brise ébouriffait mon pelage, me faisant lâcher quelques frissons qui n'étaient cependant liés qu'à la peur qui me tordait les tripes en tous sens. Oui, j'avais peur. Peur de ces choses, tapies dans l'ombre, prêtes à vous sauter à la gorge pour vous ôter la vie sans la moindre once de pitié. J'avais peur de ne pas être à la hauteur et de voir mon Clan se faire décimer, petit à petit. J'avais peur de toutes ces abominations que nous avions fini par appeler les Hurlements. J'étais effrayée, mais je ne le montrais pas. Je ne devais pas laisser mon Clan sentir que je craignais de perdre tout contrôle de la situation. Mon but était de continuer à leur faire penser que l'espoir n'était pas décimé, et qu'il y avait toujours pour une solution pour s'en sortir, même si cette dernière tardait à être découverte. Et pourtant, je n'y croyais plus. J'avais perdu la foi, perdu l'envie de me battre. A quoi bon s'acharner à essayer d'ôter son masque à quelqu'un n'ayant que le néant en guise de visage ?

Je soupirai profondément, avant de me redresser. Il était temps de partir. La plupart des guerriers et apprentis que j'avais convoqué pour m'accompagner, étaient déjà prêts, à l'entrée du camp. Leurs prunelles écarquillées et leur poil hérissé, trahissaient la peur qu'il ressentait au fond de leur cœur. Et je ne pouvais que les comprendre. Je fermai les yeux quelques instants, comme pour me donner du courage, et les rouvris quelques instants plus tard, avant de m'avancer vers mes camarades. Pas un mot ne fut osé. Pas une parole ne fut chantée. Chacun savait ce qu'il avait à faire, et je n'eus qu'à émettre un mouvement des moustaches, pour leur faire comprendre que nous devions y aller.
Le voyage se passa dans le calme le plus total. Chacun était serré contre l'autre, sursautant au moindre frémissement suspect. Les hululements des hiboux et chouettes, nous donnaient l'impression d'être traqués par les Hurlements, et nous n'arrêtâmes pas de jeter hasardeusement des coups d'oeil hagards à droite et à gauche. C'était comme si nous avions peur d'apercevoir des yeux rouges nous fixer dans la pénombre. Le bruit des grillons nous faisait palpiter le cœur, et la fraîcheur de la nuit paraissait prête à nous geler notre âme.

C'est avec un énorme soulagement que nous finîmes par apercevoir le lieu de rendez-vous des Assemblées. Les quatre Chênes. Ils étaient là. C'est avec surprise que je remarquai que les trois autres Clans étaient arrivés en même temps que le mien. Comme si nous étions inconsciemment synchronisés et que nous partagions les mêmes pensées, les mêmes sentiments, les mêmes craintes et les mêmes dilemmes. J'aperçus rapidement Etoile du Temps, Etoile des Esprits et Etoile d'Automne, les trois Chefs ennemis, qui, ce soir, deviendraient je l'espère, des alliés. Je leur jetai un bref regard avant de bondir sur le Promontoire. Ils m'imitèrent sur le champ, silencieux. Nous n'avions pas attendu plus longtemps avec de nous présenter de la sorte. L'heure n'était plus aux bavardes, nous devions parler. Les murmures cessèrent tandis que les Clans remarquaient au fur et à mesure, que les Chefs semblaient sur le point de parler. Voyant que tout le monde se muait dans un silence à en faire pâlir la nuit de jalousie, j'inspirai profondément et m'avançai légèrement, de façon à ce que tout le monde puisse me voir et m'entendre.

« Bonsoir à vous. Je me permets de prendre la parole la première. »

Silence. Je clignai des yeux, raclai la pierre de mes griffes, avant de continuer de la même voix qui se voulait forte et fière.

« Les temps sont durs. Et graves. Depuis bien trop longtemps, les Hurlements rodent autour de chacun d'entre-nous, arrachant la vie à plusieurs de nos guerriers. C'en est assez. Nous devons réagir. Nous ne pouvons plus continuer à nous terrer de la sorte, attendant simplement que ce cataclysme ne disparaisse aussi rapidement qu'il est apparu. Parce qu'il ne partira pas. Il faut que la nuit trouble de notre chair, au fond de notre désir souillé qui saigne, se dresse la nécessite de la mort. Nous devons combattre cette abomination. »

Code par xLittleRainbow